Amicale Cyclo Savigny sur Orge,

Comme à chaque fois que le boparcours passe près de chez moi, je prends le groupe au vol à Villemoisson-sur-Orge sur le coup des 8 h 40, car le départ a été avancé d’une demi-heure aujourd’hui. Je pense qu’il était composé d’une vingtaine de cyclos, car je me suis immiscé aussitôt dans le groupe de tête et n’ai donc pas pu saluer tous les collègues. Laurent Fautras a quand même eu le temps de me signaler une information importante, à savoir que la prochaine réunion mensuelle de vendredi prochain aura lieu, non pas salle Carnot comme d’habitude, mais à l’ancienne perception, dont j’ignore l’adresse.

Jusqu’à la Francilienne sous laquelle nous passons à la sortie de Saint-Michel-sur-Orge, le peloton reste groupé. Une fois le long de l’Orge en direction de Saint-Germain-les-Arpajon, un groupe de 7 se forme en tête, sous l’impulsion notamment de Christophe Allyre, groupe composé, outre Christophe, d’André Cazals, Alexandre Tella, Thibaud Vergé, Antoine Cléguer, Jean-Marc Fusay et moi-même. Au pied de la bosse de la sortie de Saint-Germain-les-Arpajon, Jean-Marc préfère lever le pied pour attendre le groupe 2. Le même scénario se reproduit à la sortie de Cormier quand Antoine nous annonce qu’il préfère, lui aussi, attendre le groupe 2.

La suite de notre sortie se fait sans problème jusqu’en haut de la côte La Guiéterie, où nous décidons de faire notre pause, mais là, dans notre champ de mire, nous apercevons au bout de la ligne droite des éléments du groupe 2 et Alexandre Tella continue sur sa lancée pour les rejoindre et nous ne le reverrons plus.

A Gometz, c’est Thibaud qui prend la tangente pour rentrer directement chez lui.

De 7 cyclos à l’entrée de Saint-Germain, nous ne sommes plus que 3 du groupe 1 pour terminer cette sortie. C’était sans compter sur les impondérables de la route et, en plein bourg de Janvry, qui voyons-nous qui se bagarre avec sa roue arrière, Laurent Fautras, victime d’une crevaison lente nous dit-il. Mais où était son binôme ? Solidarité oblige, André et moi lui portons main forte, Christophe s’excuse car il a un impératif horaire, et pendant que nous nous affairons à la réparation, une grande partie du groupe 2 revient pour lui porter assistance… morale surtout. Quelle est notre surprise, à André et moi-même, de constater que le pneu de Laurent est usé jusqu’à la toile sur quelques centimètres. Je suppose qu’il n’a pas dû écouter les conseils préventifs de notre responsable « sécurité » qui nous recommande de mettre des pneus neufs pour l’hiver !!!

La fin du parcours se fait sans problème, mais j’ai quand même pu constater combien Guillaume a de la vélocité dans les jambes pour monter l’Escargot.

La température était agréable ce matin, comparée évidemment à celle que nous avons connue dans la semaine. Par contre, il y avait un vent très violent, voire à la limite de la dangerosité dans des zones où nous l’avions carrément de côté, comme après Les Molières et Janvry.

77 km au compteur à l’arrivée chez moi.

 

 

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