Amicale Cyclo Savigny sur Orge,

Yves absent ce matin, je vais essayer de le remplacer pour résumer la sortie du groupe 1 sur le 60 km des Retrouvailles à Ormoy.

Arrivé directement en voiture de Palaiseau, je partais donc à froid à l’inverse de mes quatre camarades de route (André, Thomas, Bruno et Guillaume enfin décidé à rejoindre le groupe 1) qui étaient déjà « chauds » après leurs 20km depuis Viry/Savigny.

Départ tranquille sur des routes bien glissantes afin d’éviter de prendre des risques inutiles. Puis le soleil réchauffant la route, le groupe accélère notamment lorsque Thomas et surtout Bruno prennent les relais.

Pas d’arrêt au premier contrôle ravitaillement dans le premier passage de la côte du télégraphe (dans laquelle André en bon capitaine de route a retenu les fauves !). Bon rythme par la suite avec les faux plats entre Soisy et Mondeville (et la « côte des Petits Pois ») montée au train et bien groupés (du coup aucune attente au sommet). Sur cette première boucle l’essentiel des relais – appuyés – sont pris par Thomas et Bruno (même André semble avoir du mal à passer !).

Après une courte pause au deuxième passage du télégraphe, la deuxième boucle est attaquée sur le même rythme sous l’impulsion toujours de Bruno et Thomas mais aussi d’André qui commence à être chaud. Les petits relais passent bien sur la route finale qui nous mène vers Mennecy et le retour à Ormoy. Même Guillaume consigné à l’arrière pendant tout le parcours par André (mais qui ne devrait pas tarder à nous – moi au moins – faire souffrir !) aura le droit de prendre quelques relais dans les derniers kilomètres.

De retour à Ormoy avant 11 heures après 60 km couvert à plus de 28,5 km/h de moyenne (et encore en l’absence d’Yves et Christophe et bien d’autres qui passent l’hiver au chaud dans le groupe 2 !). Après une pause sandwich, André, Bruno, Guillaume et Thomas repartent grand train vers Viry et Savigny. Pour ma part, je repars tranquillement mener grand train …sur l’A6 ! Du coup petite sortie de 60 km pour moi (une centaine pour les autres) et de retour chez moi, une fois n’est pas coutume, vers 11h45.

Thibaud Vergé.

 

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