Amicale Cyclo Savigny sur Orge,

Pour moi, l’intérêt de ces comptes rendus est avant tout de citer les membres présents aux sorties, or il n’est pas toujours évident de se les rappeler tous, et même si le compte y est, je peux par erreur en nommer un alors qu’il n’était pas présent, n’est-ce pas M. Pilorge ? Mais qui était ce onzième homme mardi dernier ?

Ce matin, c’est pareil, nous étions 16 au Déluge, j’ai bien tenté de prendre des photos pour me remémorer tout ce monde, hélas, une mauvaise manip a fait que je n’ai rien sur la pellicule (excusez-moi d’utiliser un langage du siècle dernier !!!). Mais je crois que Pierre Leyssenne en a pris et grâce à lui, on va pouvoir pallier à cette « défaillance humaine » liée à une technologie qui va beaucoup trop vite.

Alors que nous échangions au Déluge avant de prendre la route, 3 ex-Saviniens, Marc Chevalier, Charly Bur et Michel Goasguen, sont arrivés et sur l’invitation d’André, Jean-Claude Le Métayer (Chilly), Alain Slavero (indépendant savinien) et moi-même avons pris leurs roues sur un itinéraire plutôt tarabiscoté. Et je vais à droite, et je vais à gauche… Bref, ce trio fait beaucoup de kilomètres sans jamais s’éloigner bien loin.

Sortie agréable malgré tout à bonne allure, une crevaison peu après le départ à Chantecoq, mais au final nous n’étions plus que deux, Jean-Claude et moi-même, car sur le chemin du retour, alors que nous venions de Gometz, arrivés à Janvry, nous avons tourné à droite direction Mulleron, pensant que nous prenions cette direction pour éviter la route boueuse qui mène au Déluge. Mais non, à l’entrée de Mulleron, voilà le trio qui tourne à droite, suivi par André et Alain. Il était presque midi. Vers où sont-ils rentrés ? Je l’ignore. Jean-Claude et moi avons tourné à gauche et nous sommes revenus par l’Escargot.

A 12 h 30, j’étais chez moi avec 77 km au compteur.

Temps gris et doux, routes toujours aussi grasses. J’ai eu peur dans la descente du Déluge à la bifurcation qui nous mène vers Marcoussis, il y avait une belle nappe de fuel un peu desséchée en plein milieu du virage. J’ai lâché mes freins et me suis retrouvé carrément sur le bas-côté gauche.

 

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