vélo–Maroc
Un long faut plat de plat de 35 km pour commencer, ensuite un peut les montagnes russes, une traversée de la ville Ourika me feras faire de la marche à pied pendant un quart d’heure voir plus, bloquer littéralement entre les autochtones et les moutons,un cycliste tout de fluo la dedans ça valait son pesant d’or.
Une fois sortie de cette galère je reprend mon parcours de prévu le soleil commence à taper je vois mon compteur qui dépasse allègrement les 30°.
Comme un couillon j’oublie d’emmener les gâteaux à base de pâte d’amande qui me fourni l’énergie tout le long du parcours quelques gâteaux sec pas suffisant, heureusement deux bidons un sucré un d’eau mais les bidons sont en ébullition, pas facile de boire l’eau chaude dans ces conditions.
Et arriva ce qui devait arriver surchauffe début de l’insolation tout les paramètres sont la maux de tête, nausées, lèvres sèches etc….
Au km 90 j’en peut plus je m’arrose avec le vent une sensation de fraîcheur, je rentre tant bien que mal et la un peut plus de trente minutes pour récupérer ma belle sœur à eu peur, après une réhydratation progressive quelques cornes de gazelle une bonne douche la forme revient, ouf !
Quand je pense quand région parisienne il fait froid et que moi je suis en surchauffe.
Pas pris de photos ce matin.
À bientôt pour d’autres aventures…
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