Amicale Cyclo Savigny sur Orge,
Je vais tâcher d’être plus concentré pour la rédaction de ce compte rendu que je ne le fus dimanche dernier, où j’ai vu des hologrammes dans le groupe final et oublié des membres présents. A ma décharge dimanche, la fluctuation quasi permanente du groupe.
Ce matin, le beau temps était toujours au rendez-vous, au point que l’un d’entre nous était en cuissard et 2-3 autres en corsaire, mais le départ de la maison se fait quand même par une température assez froide et j’ai surtout eu froid aux oreilles en me rendant au Déluge.
Là-haut, affluence moyenne, 11 cyclos au total. Michel Vincent, Yves Pilorge, Robert Germain et Jean-Claude Le Métayer, qui feront un groupe en partant sur Janvry. Je suis sollicité pour faire un autre parcours et j’ai accepté sans savoir exactement où j’allais emmener l’autre groupe composé de Laurent Fautras, Philippe Bonnard, Marc Chevallier, Michel Goasguen, Daniel Clerc, Jean-Marc Millero, qui roule avec nous de manière épisodique. Au feu de Bel-Air, comme j’avais ma petite idée en tête qui commençait à germer, j’annonce que nous allons faire pas mal de bosses, ce à quoi Philippe me répond que les bosses se font maintenant le jeudi. C’est vrai, c’est marqué sur le programme et je n’y avais pas prêté attention. (Ceci étant, je pense que pour ceux qui envisagent de faire un 200 le dimanche suivant, mieux vaut faire les bosses le mardi).
Je vais détailler le parcours, car il est intéressant et assez athlétique, environ 100 km au départ de Savigny et un peu plus de 1.000 mètres de dénivelé.
A Bel-Air, nous continuons tout droit pour rejoindre La Belle-Etoile où nous allons en face au rond-point en direction de Breuillet (1re difficulté). A Breuillet, droite et gauche 1 km plus loin pour aller sur Breux-Jouy puis nous rejoignons au sommet d’une bosse la D-82, Arpajon-Villeconin (2edifficulté). Droite et gauche pour monter les Emondants (3e difficulté). Cette route nous mène à Chauffour, que nous descendons. Dans le bas, à l’entrée d’Etrechy, 2 fois à droite pour monter sur Saudreville( (4e difficulté). Et là, face au château, nous faisons notre pause et l’inévitable photo-souvenir prise pas Laurent.
Descente sur Villeconin que nous traversons pour aller sur Montflix (5e difficulté). A Roinville-sous-Dourdan, tout droit en face et la bosse de Beauvais (6e difficulté) suivie de la descente sur Les Loges. Au stop, en bas, nous prenons Le Val-Saint-Germain où nous bifurquons à gauche pour monter par les tennis pour rejoindre Angervilliers (7e difficulté).
Angervilliers, Machery, Forges-les-Bains (car la route qui nous mène à Briis est barrée et nous avons dû faire demi-tour), nous retrouvons Briis et montons la poubelle (8e difficulté).
Par où allons-nous rentrer ? Je contacte Laurent un peu à la peine dans les bosses qui ne voit aucun inconvénient à rentrer par l’Escargot (9e et avant-dernière difficulté pour lui). Et arrivé en haut de cette bosse, il m’annonce avoir franchi la barre des 1.000 mètres de dénivelé.
Le décompte des bosses ne tient pas compte de celles que nous sommes amenés à prendre pour nous rendre au Déluge.
Cet itinéraire mérite d’être retenu, mais il faut être en bonne condition, car il est physique.
Le groupe a fait preuve d’homogénéité, et si Jean-Marc était d’une facilité déconcertante dans les bosses, il nous attendait toujours dans le haut et nous n‘avons laissé personne à la traîne.
Je compte sur les Gpéistes pour nous donner les informations pratiques.
A 12 h 10, j’étais chez moi.
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