Hier matin, alors que j’arrivais au Déluge, je croise Gilles sur le chemin du retour. Là-haut, pas mal de monde. A peine le temps de les saluer que le groupe s’ébranle direction Bel-Air. Et quand j’ai enfourché mon vélo, il y avait bien un « trou » de 100 mètres que je ne suis pas arrivé à combler en raison d’un vent de face tempétueux. A Bel-Air, j’ai eu le droit au feu rouge. Personne à l’horizon. Je m’étais fait une raison de faire ma sortie en solo quand un coup de fil personnel m’obligea à faire demi-tour. Autant la progression était difficile face au vent, autant la côte de Bel-Air sur le retour fut d’une facilité déconcertante. J’avais l’impression d’avoir un moteur sur le vélo.
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